Encore une fois cette conférence a été organisée de main de maitre dans un cadre idyllique, voir presque trop car cela donne plus envie de se prélasser à l’extérieur que d’assister aux sessions à l’intérieur (voici quelques photos : tibo.smugmug.com)
De mon coté, mes 2 sessions ont été réussies:
- Le « Casino Game » a attiré plus de 30 personnes (salle remplie au maximum) et j’ai essayé pour la première fois de faire jouer 2 équipes en parallèle. Cela a créé beaucoup de cacophonie mais tout le monde est reprti avec le sourire et en ayant appris l’essentiel de ce que le jeu permet de comprendre.
- « Lorsque Scrum ne marche pas » a attiré 25 personnes (j’espérais un peu plus … mais en fin de 2ème journée c’est toujours plus difficile) et s’est déroulée totalement différemment de la session du Scrum Day, puisque seulement 3 sujets ont été traités. Par contre j’ai reçu un feedback très intéressant sur une façon de modifier la session pour la rendre encore plus pertinente (en ajoutant une explication des actions menées pour régler le problème … même si elles ont échouées)
Parmi les sessions auxquelles j’ai assisté, j’en retiendrais tout particulièrement 2 :
- Celle de François Bachman sur les mythes, les légendes et les monstres qui révèle un réel potentiel, tant sur le déroulement de la session que sur l’utilisation de cette « technique » dans un contexte professionnel.
- Celle d’Emilie Franchomme sur la rétrospective que j’ai trouvé particulièrement bien structurée et particulièrement percutante car issue d’un retour d’expérience personnel.
Emilie et François, vous êtes les bienvenus sur Grenoble le Jeudi 24 novembre 2011, voir le lendemain si vous voulez être des 100 agilistes qui participeront à Agile Innovation (dieu que je n’aime pas ce nom !) le vendredi 25 novembre 2011
Sinon un petit regret, mais pour lequel les organisateurs n’y sont pour rien, plusieurs orateurs n’ont fait le déplacement que pour donner leur session ou presque, et il n’a pas vraiment été possible de discuter avec eux en marge de l’évènement … surement une histoire de gestion de priorités … mais c’est dommage.
Et pourtant cela ne m’a pas empêché d’avoir de longues discussions avec plusieurs participants (orateurs ou pas) et même de faire du business 🙂